Jean-François Millet photographié par Nadar
Né dans une famille de cultivateurs du Corentin, il étudie la peinture auprès d'artistes néo-classiques de Cherbourg. Obtient une bourse en 1836 lui permettant de se rendre à Paris. Là il gagnera sa vie en exécutant des peintures de scènes légères, des dessins érotiques et des portraits. - Il emploie le "sfumato" – comme des photos –
Certains impressionnistes reconnaîtront leur dette envers lui (surtout Pissarro) et Van Gogh dont l'admiration pour Millet ne se démentira jamais, a pu écrire : "pour moi, ce n'est pas Manet mais Millet le peintre essentiellement moderne grâce à qui l'horizon s'est ouvert devant beaucoup".
"Le cinéma était montré tout au début dans les foires – les salles de cinéma apparaissent dans la première décennie du 20ème s"
1847 - Œdipe détaché de l'arbre
En 1842-45, il fait des portraits.
Portrait de Madame Roux de la Noirie
1846 - Le retour du troupeau
1848 – Le vanneur (acheté par l'état français)
Tournant décisif dans sa carrière de peintre.
L'année suivante il s'installe à Barbizon avec sa famille
1850 – Le semeur
(Vue en contre-plongée, fond en 2 couleurs – bleus/ocres)
1850 – Les botteleurs de foin
(Personnages éclairés en arrière-plan – fondus dans les ombres – représente les gestes pas les visages)
1855 – Les lavandières
(toujours sans visages – gestes significatifs)
1859 – L'angelus
(A l'époque, on n'expose pas les dessins/croquis personnel)
Comme Turner, n'exposait pas ses toiles préparatoires à l'aquarelle.
1857 – Les glaneuses
(V. film d'Agnès Varda – Les glaneurs et la glaneuse)
1871/1874 - Eglise de Gréville – la lumière
1867-68 - Primevères
1867 – Narcisses et violettes
1866 - Bouquet de Marguerites (pastel)
Sa maison/atelier et la rue portant son nom à Barbizon, près de la forêt de Fontainebleau (photos prises durant ma visite à Barbizon)
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